Vous souhaitez obtenir un label ou une certification pour la transition écologique de votre entreprise ?

Régulièrement en formation auprès de l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), j’ai pu constater que devenir un acteur de la transition écologique représente une mission assez importante. Il est judicieux d’avancer point par point et de ne pas brûler les étapes.

Que l’on décide d’améliorer son empreinte numérique ou que l’on souhaite diminuer ses émissions de gaz à effet de serre, il est important de se concentrer sur des actions précises et réalisables et de se faire accompagner afin de ne pas sombrer dans le burn-out écologique ou utiliser la méthode compensation carbone de façon erronée.

Le Saint-Graal (obtenir une certification ou un label pour son entreprise) sera la consécration d’un travail guidé par la volonté d’adopter un comportement le plus éthique et écoresponsable possible en fonction des possibilités de votre entreprise.

accompagnement Transition écologique entreprise Règle des 7R

La Transition Écologique en Entreprise : Travaillez bien, travaillez vert et faites-vous accompagner dans la transition écologique de votre entreprise.

A l’instar du fumeur invétéré qui souhaite l’arrêt du tabac, devenir « éco-entrepreneur » n’est pas une mince affaire. Mais choisir de se faire accompagner dans ses changements d’habitudes, ses choix de consommation, ses responsabilités entrepreneuriales est une démarche accessible à toute personne dotée d’un peu de volonté. Qu’il s’agisse d’une délégation administrative de vos démarches d’obtention de label et de certifications écoresponsables ou d’un audit du mode de vie actuelle de votre entreprise en vue de décarboner tout ça, mes accompagnements sont personnalisés selon les possibilités de transition écologique de votre entreprise.

L’impact carbone des entreprises est primordial : aujourd’hui, il est impératif pour notre environnement de concevoir nos projets autrement. L’engagement écologique d’une entreprise est aussi gage de qualité.

Pas de petits plans pour la planète (et pour l’assistante que je suis), ne négligeons pas notre environnement et notre habitat, faisons évoluer votre entreprise ensemble !

Votre assistante indépendante vous accompagne dans votre transition écologique :

  • Conduite du changement en entreprise : assurer une cohésion écologique en entreprise en initiant chacun de vos salariés au changement, cela s’apprend. Votre assistante est formée pour utiliser la pédagogie qui s’impose et déployer les grands moyens. A nous l’organisation d’ateliers aussi divers que ludiques (en utilisant le moins de matériel possible !) dont le but est simple : favoriser le changement de nos habitudes par une prise de conscience.
  • Développement durable et économie circulaire : achats éthiques, fournisseurs responsables, réemploi, recyclage : toutes les questions que vous vous posez sont légitimes et votre assistante aura à cœur de trouver les solutions qui vous conviennent.
  • Responsabilité numérique : stockage des données, fréquence des posts, formats d’images : votre numérique pollue presque autant qu’une flotte aérienne, il est temps de confier tout ça à votre assistante indépendante.
  • Emplois inclusifs et bien-être au travail : c’est aussi cela le monde du travail, d’aujourd’hui à demain. Qui veut voyager loin ménage sa monture, il est temps de prendre soin de vous et de vos proches collaborateurs.
  • Environnement grâce à l’organisation d’ateliers avec différentes associations pour comprendre les enjeux actuels, sensibiliser vos collaborateurs et vous initier à la conduite du changement.
  • Accompagnement dans l’obtention d’un label ou d’une certification.

La Règle des 7R : comment l’adapter dans la vie de votre entreprise ?

Exit la 5G, vive la règle des 7R ! La règle des 7R consiste à Refuser, Réduire, Réviser, Réparer, Réutiliser, Réfléchir et Rejoindre. (Elle n’est pas exhaustive et tout terme commençant par R en Rapport avec l’environnement et l’écologie sera accepté !)

  • Revoir ses habitudes en montrant l’exemple autour de soi : refuser les emballages par exemple. Pour la pause déjeuner, acheter de la nourriture en vrac, apporter ses propres contenants vides à la boucherie sont déjà des pistes à explorer. En entreprise : offrir à vos clients des goodies écologiques, fabriqués localement et de façon éthique, prévoir un repas d’entreprise ou un séminaire en utilisant le moins d’emballage possible, voire aucun.
  • Réduire notre consommation en réfléchissant à la pertinence et l’utilité d’un achat. On fait des économies en n’achetant pas. On se concentre sur l’essentiel. La production d’un seul objet nécessite une telle production d’eau que l’on pourrait parfois aisément abreuver tout un village, ce qui nous amène à :
  • Réviser notre utilisation de l’eau : Cette ressource naturelle est en voie d’extinction. Chez moi, du printemps à l’automne, nous utilisons des toilettes sèches : oui, oui, vous avez bien lu. Et cela fonctionne très bien. Pas d’odeurs, de la sciure récupérée en scierie, un compost parfait. La nature est bien faite, les petites bêtes travaillent dur et au bout de 2 ans de repos, le compost est utilisable. Et surtout, aucune goutte d’eau n’est utilisée. Une chasse d’eau, ce sont 9 litres d’eau usée. Gâchée, en somme. Un individu se rendant en moyenne 4 fois par jour aux toilettes traditionnelles consomme 36 litres d’eau par jour !
  • Réparer ce qui peut l’être. Et si on ne peut pas, réfléchissons à une autre manière de consommer. Au lieu d’acheter un objet neuf, essayons de nous contenter d’un appareil reconditionné ou d’un achat d’occasion. Un prêt ou une location d’objet peut-être également salvateur, si c’est un appareil à raclette que vous n’utiliserez que quatre fois par an (sauf si vous comptez emménager en Savoie ou Haute-Savoie prochainement : sachez qu’ici, la possession d’un appareil à raclette est une prérogative pour vivre dans des conditions normales). Si l’achat neuf ne peut être évité, achetons plutôt local et éthique.
  • Réutiliser des objets : J’ai besoin de lumière près de mon ordinateur : avant de foncer tête baissée sur Amazon, je réfléchis et me souviens que la petite lumière de la chambre de bébé remisée dans un carton mériterait d’être ressortie de sa boîte, direction un nouvel emploi sur mon bureau. Le résultat n’est pas si mal ? Super, on garde et on passe à autre chose. L’éclairage n’est pas adapté ? Réfléchissons encore un peu plus, il y a peut-être une autre lampe dans la maison qui pourra pallier ce besoin. Sinon, alors d’accord, sortons le porte-monnaie pour acheter éthique et local. La réutilisation passe aussi par l’arrêt total et définitif de jetable au profit de lavable et réutilisable sous peine de sanction à caractère irréversible (oups, je m’emporte très légèrement). C’est fou, tout ce que l’on peut jeter ! Hygiène intime, cotons, essuie-tout, cotons-tiges et j’en passe alors que presque tout peut être lavable et réutilisable.
  • Réfléchir à d’autres « R » pour évoluer et progresser sur notre chemin. Réfléchir à notre mode de vie, de consommation, à nos modes de transport. Repenser tout ça et devenir acteur de l’écologie. Résister également au greenwashing (cette vilaine méthode utilisée par des opportunistes visant à nous faire croire que leur démarche est écologique et vertueuse : par exemple, un produit d’entretien qui note « 100 % écologique » sur son étiquette alors que le contenant est 100 % en plastique…). Comme dans un roman haletant, le long fleuve tranquille qu’est notre conversion à l’écologie est bouleversé par l’arrivée de l’élément perturbateur, représentant en contre-productivité : « greenwashing », le bien nommé. Cependant, l’arrivée de cette tendance est intéressante puisqu’elle nous impose une remise en question et nous oblige à davantage lire les étiquettes produits…

Et si finalement, le meilleur des bilans était une grosse introspection personnelle et professionnelle ? Un changement de nos habitudes, une ouverture d’esprit, une réinvention de nous-même et une réflexion qui pourrait nous amener à un autre mode de vie, à une utilisation de nouvelles méthodes au quotidien qui nous feraient économiser des ressources, de l’énergie, du temps et de l’argent. 

Il nous reste la dernière règle (the last but not the least) : Rejoindre le mouvement de l’écoentrepreneuriat en essayant des choses, en apportant de nouvelles idées, en faisant marcher le commerce local, en réparant, en fabriquant, en créant une entreprise vertueuse.

Comment obtenir un label pour la transition écologique de mon entreprise ?

Il existe plusieurs certifications et labels décernés par divers organismes tels que l’Ademe (agence de la transition écologique) ou le groupe Afnor. A chaque secteur son label, faites-vous accompagner dans l’évolution écologique de votre entreprise.
 

Concrètement, comment cela va se passer ?

Je me déplace dans vos locaux à proximité d’Annecy, Rumilly, Entrelacs et Aix-les-Bains, afin d’évaluer vos pratiques habituelles et réaliser un audit. Le résultat de l’audit vous est communiqué et expliqué sous 72h. Si la proposition d’évolution de votre entreprise vers une écoresponsabilité vous convient, nous débutons notre collaboration.
 
Résumons les étapes :
  • Une évaluation de vos pratiques habituelles dans vos locaux
  • Un audit réalisé et communiqué sous 72h
  • Une proposition de conseils et changements visant à diminuer l’empreinte carbone de votre entreprise
  • Un accompagnement dans vos démarches d’obtention de label et certification

Comment procéder pour un accompagnement dans la transition écologique de mon entreprise ?

Un clic sur l’onglet « Contact » en bas de page vous dirige vers un formulaire et vous permet d’écrire vos attentes. Je vous recontacte dans la journée pour programmer une visite dans vos locaux afin d’évaluer et d’auditer vos habitudes actuelles, nous contractualisons ensemble les missions à l’aide d’un devis gratuit effectué par mes soins. Nous collaborons ensuite pour faire évoluer votre entreprise dans sa transition écologique par le biais de pratiques simples, écoresponsables et adaptées à votre profil.

L’écologie ne peut dorénavant plus être ignorée. Il faut se rendre à l’évidence : l’heure est à la décarbonation de chacun et surtout de nos entreprises. Alors, halte à la surconsommation ! Utilisons notre bon sens, réfrénons nos envies compulsives d’achats inutiles ou dérisoires. Passons au durable, à l’éthique : achetons peu mais achetons mieux ! L’ecoentrepreneuriat prend alors tout son sens : fournisseurs verts, achats responsables, recyclages et upcycling : tout est possible à condition de s’en donner les moyens.

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